vendredi 25 janvier 2008

Je me souviens d'un livre lu l'hiver dernier

Voilà :
Comme je construis ce blog, je patauge dans l'organisation de mes rubriques et me dis que c'est bien de partager ses lectures (On n'est obligé de rien, soyons clair! On peut très bien garder tout ça pour soi, mais là , ça me semble bien);
j'ai découvert le rayon "loisirs, vie quotidienne, sport et jardinage" de la bibliothèque de l'Alcazar à Marseille;
(Lecteur pressé saute ce passage , l'image est en bas, ça peut suffire)
je m'y rend trois fois par mois et plonge sur les ouvrages concernant vous devinez quoi?
Le foot, nan, je déconne.C'est juste le rayon à côté.Comme je suis systématique et obsédée, je ne regarde que ça.
Terminé, depuis deux ans: que ça.
Bref, sur place je reste longtemps à feuilleter tous ces livres, très cartonnés, pesant souvent trop lourd je trouve, et remplis de photographies style "maison et jardin" mais pas que, y en a d'autres avec des croquis, des aquarelles, des dessins.
Je ne les emmène pas à la maison, non, non, trop lourd, et puis j'ai des courses à faire à Noailles, poulet, légumes (pas en photo eux);
Si parfois j'emprunte un livre, deux ou jusqu'à 10 selon mon envie d'immersion dans un sujet précis (la taille des fruitiers, le potager, les légumes anciens, le jardin au Moyen-Age, petites constructions que sais-je encore, -je suis systématique je vous dis, puisque je suis apprentie jardinière-) , j'ai néanmoins quelques critères:
-avoir envie de lire vraiment le texte et relire
-avoir envie de photocopier des informations d'une importance hautement scientifique, que mon cerveau ne peut pas intégrer en mémoire.
La botanique, ça me semble infini.
Mon cerveau, c'est prouvé, non.

Et il y a des fois, faut être précis en jardinage:(lecteur pressé saute ce passage)
La ramure du pêcher, par exemple: reconnaître gourmand, rameau mixte, rameau chiffon, rameau à bois, bouquet de mai, oeil à bois, bouton à fleur...là me faut la photocopie et même ça ne suffit pas.

A ce jour d'ailleurs je suis encore tétanisée à l'idée de tailler les fruitiers, malgré toutes mes lectures et photocopies.Même pire, je me pose des problèmes que je n'avais pas avant.
Ouf, je crois que j'ai encore le temps car Bergeron, grosse Mignonne et Dauphine sont "bébés", (c'est comme si on se demandait quand on a un enfant de deux ans dans quel collège on va l'inscrire?...)

Le livre dont je vais vous parler aujourd'hui m'a tout de suite paru obligatoire à ramener à la maison pour le découvrir en paix.
Me souviens du titre et revois très bien la couverture,mais impossible de me rappeler le nom de l'auteur anglais; alors je tape le titre et bing, internet c'est pas mal quand même!
Voilà il s'agit de ce livre:

De tous ceux que j'ai lu en deux ans , je crois que c'est mon préféré.
















Par hasard aujourd'hui, en cherchant l'image de la couverture sur internet, ai trouvé un article sur Derek Jarman c'est ici (si vous voulez en savoir plus)
http://livres.lexpress.fr/critique.asp?idC=3271&idR=12&idTC=3&idG=8
(extrait de l'article de Loïc Staverides)
Enfer et paradis
"En décembre 1986, Derek Jarman découvre l'enfer et le paradis. L'enfer: sa maladie. Le paradis: une petite maison de pêcheur, dans le Kent, non loin de Dungeness. Planté entre un vieux phare et une centrale nucléaire, balayé par un vent de force 6, Prospect Cottage est une bicoque laquée noir aux fenêtres jaune citron. Il n'y a pas de jardin. Ici, officiellement, rien ne pousse."

Bon je n'arrive pas encore à créer des liens qui marche, chiedo scusa!
Je progresse de jour en jour mais parfois aussi, stupeur:
je régresse...En informatique c'est prouvé, en jardinage ça dépend, le reste c'est mes oignons.
Désolée je voudrais bien installer des fonctions indispensables à tout blog, mais je patauge.

Domani :
Crumble abricot-pêche-framboise-et rhubarbe.
Au zardin, trop de bon tue le bon?




2 commentaires:

Anonyme a dit…

Moi aussi, j'ai cru un jour que l'ordinateur n'avait plus de secret pour moi, avant de m'apercevoir que c'était l'inverse.

gwenzardin a dit…

Bouh, ça fait toujours un peu de peine non?
Pourquoi il faut toujours se compliquer la vie, ou admettre que si un enfant de 10 ans s'en sort sans problème, pas nous?
Je vais faire des efforts d'adaptation pour mieux gérer, taille des caractères, alignements des images et liens hyper textuels,mais pour l'instant, refuse d'y passer mes nuits...Avant d'atteindre cette maîtrise, ben, tant pis, je traite d'un sujet rustique.L'élégance agricole viendra, question de patience...