jeudi 27 mai 2010

Frôler la félicité




Petit-déjeuner encore au frais mais très lumineux

Trois jours parfaits.

J'ai enfin pu me régaler de toutes les heures de la journée au jardin.
La félicité aurait été atteinte si les pivoines en boutons voulaient bien s'ouvrir.
Aaaah.

On y est presque, si, si.....
je frôle ce moment attendu depuis 4 printemps.


Eclosion si proche,
coeur de la zardinière au bord de l'implosion.

Là, obligée de me consacrer au déménagement et zut de zut préfèrerais raconter les merveilles vues dans la colline.
A piu tardi.

A Marseille je vais avoir une cour.
Caramba.
C'est fantastique.

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