Ah Nabelle!Le jardin imaginaire -
constitué par ces billets éparpillés donc- a été lu et regardé en vrai.
Un visiteur a parcouru le blog puis s'est rendu au zardin.
Pour ça il faut descendre un chemin et après forcément le remonter.
Bon ce promeneur-lecteur connaissait déjà le lieu, les collines et tout et tout.
Mais pas le territoire irréel décrit avec plus ou moins d'exactitude sur cet espace bloguesque.
Du virtuel au réel.
Peu après, incroyable, j'ai ainsi reçu , un petit tour photographié des divers coins reconnus comme "zardinés".
Ou présumés tel.
Les images dégagent l'implacable chaleur.
Ah! Nabelle! Quel spectacle!
De l'illusion à la réalité.
La dessiccation est au delà de ce que je pensais.
C'est ce qu'on appelle redescendre sur terre?
Malgré l'insoutenable cruauté de la vision voici donc la
sèche réalité:
Armoises, asters et sauges aux feuilles enroulées.
Tout ça est recroquevillé.
Touffette de buis et derrière euh:
un rosier qui déjà n'a pas fleuri bon d'accord...
mais semble à présent même sans feuillage.Cependant une palpitation subsiste à la vue du "
carré blanc",
(je crois que je vais cesser de le nommer ainsi tellement il n'est pas blanc!).La lumière est vraiment belle ici, plantes cramées ou non.
L'exaltation m'est nécessaire.

Peut-être a-t-il plu depuis?
Merci à cet ami pour son reportage qui a le mérite de me
transporter là-bas.
Bientôt je vous montrerai comment dans le même coin
chacun a son micro-climat.
Chez moi, vous l'avez compris, c'est sec.